A une amie décédée ce soir.
et maintenant c’est toi qui a quitté ta vie.
Si un monde meilleur existe vraiment
je sais que tu y est maintenant.
Tu étais la personne la plus intègre,
que j’avais rencontrée dans ma vie,
personne ne pourra te remplacer mon amie,
mes larmes ont l’arrière du vinaigre.
Le monde a perdue le plus beaux,
et irremplaçable de ses joyaux.
Est-ce-que je t’aie assez remerciée,
pour tout ce que tu as fais pour moi,
tu as été le meilleur ange qui a passé,
que vais-je devenir sans toi!!!
En ta présence on se sentait devenir meilleurs
Tellement il y avais d’amour dans ton coeur
Tes yeux reflétaient ton immense bonté
et ton âme était pleine de ta générosité.
J’en veux a la vie de t’avoir volée,
nous laissant seul et inconsolé.
Tu me manque beaucoup
Le signe de ta présence
Quoi qu’il arrive
Ou qu’il nous arrivera
On ne t’oublieras pas
Même si tu n’es plus là.
Tu nous manques terriblement.
On aimerait te revoir
Rien que le temps d’un soupir
Pour te dire nos Adieux au mieux
Pour revoir ton sourir
Qui nous manque tellement.
Encore un ange de plus
A compter dans le ciel
On ne s’attendait pas
A ce que le suivant soit toi
La force t’a laissé tomber
Alors que toi tu voulais avancer.
Jim’, tu es partis si vite
Plus vite qu’une comète
Qui fait sa route dans la sombre nuit.
Jim’, on aurait voulu que tu resites
A cette maladie de bête
Que tu survives à ce mal-être
Pour que, encore, tu existes
Ta disparition est un déchirement
Un trou béant dans ce néant
Qui s’est formé dans nos coeurs,
Et qui laisse aller nos pleures.
Tu resteras dans nos rêves et nos esprits.
Sans aucune trève, dans aucune lubies.
Tu nous manques Jimmy <3
Je peux t’aider
La construction triste
Ou la vie succombe
Si peu de journées
Et tant d’âmes’mortes
La réalité
Et la fin l’emportent
Et gagne l’émoi
Quand la vie s’éteint
Tout autour de soi
Pénible destin
OU
A l’age de …. ans , tu nous as quittés,
Par un après-midi plutôt ensoleillé .
Tu était un garçon formidable .
Que ta joie de vivre était remarquable
Tu était un petit gars vraiment magique ,
Mais il a fallu que cet accident tragique
T’emmène au paradis ,tout près de ton Dieu
Et ces là que tu nous a laissé malheureux
On dit que les meilleurs partent tous les premiers ,
J’aurais préférer que cet phrase soit fausse
Pour que je puisse encore une fois t’admirer .
Mais tu t’es envolé tel un bel albatros
J’ai donc décider de ne jamais t’oublier
Mais aussi , de ne jamais cesser de t’aimer.
Je t’aime mon amie
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon.
Quelqu’un à mon côté dit :
« Il est parti ! »
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard. C’est tout…
Son mât est toujours aussi haut,
Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi,
Pas en lui.
Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « il est parti ! »
Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux,
S’exclament avec joie :
« Le voilà ! »…
C’est cela la mort.
William Blake
Quelqu’un meurt,
Qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ
Pour un nouveau voyage…
Quelqu’un meurt,
Et c’est comme une porte
Qui claque.
Mais si c’était un passage
S’ouvrant sur d’autres paysages…
Quelqu’un meurt,
Et c’est comme un arbre
Qui tombe,
Mais si c’était une graine
Germant dans une terre nouvelle…
Quelqu’un meurt,
Et c’est comme un silence
Qui hurle.
Mais s’il nous aidait à entendre
La fragile musique de la vie…
(Benoît Marchon
Tu me manque ma chérie
L’homme pose parfois trop de questions en vain.
On se plaît à rêver un monde d’amitié
Les gens autour de toi souvent te décevaient.
Tes souvenirs d’enfant toujours te déchiraient…
Je sais combien parfois ils sont lourds à porter.
L’image d’un foyer, les portes refermées
N’est pas toujours celle dont un enfant peut rêver.
Imprégné au fond de toi de gentillesse,
De bonté, de modestie et de tendresse…
Tu ne connaissais rien de la méchanceté
Une envie de recueillir les oiseaux blessés.
Tu semblais si heureux, envolé vers ton nid
Où l’amour des enfants vous remplie une vie…
Près de toi Lydie. Elle t’aimait pour toujours
Et cherche aujourd’hui où est passé l’amour…
La souffrance du dos, chaque jour dans ta vie
A détruit ton courage, usé ton esprit.
Tu en as oublié l’amour et l’amitié
Que te portaient des gens qui t’aimaient d’exister.
Tu as ignoré les bras tendus d’une enfant
Qui grandira sans toi et qui au fil du temps
Cherchera à savoir, cherchera à comprendre
Comment tu as fait pour oublier d’entendre.
Tu étais mon frère lorsque j’étais enfant.
Je t’aimais beaucoup même si au fil des ans
La vie nous installait sur des rails différents.
Les souvenirs ne s’usent pas avec le temps.
Et je les garde en moi tel un trésor précieux.
As tu trouvé la paix ? Existe t’-il ce Dieu
Qui explique le monde et pardonne nos doutes ?
Pour justifier un départ que l’on redoute…
Je n’ai pas de réponse, seulement de l’espoir…
Et quand descend le soir, allongée dans le noir
Souvent je pense à toi. Je ne peux t’en vouloir
D’avoir perdu confiance en la vie…en toi…
Paris, septembre 1990.
Brigitisis