le vrai amitié est celle de l’enfance, c’est le vrai amour innocent, c’est une amitié sincère qui a commencé des nôtres plus jeune âge. Voici des beaux poèmes sur les amis(es) de l’enfance.
Une amitié sincère qui a commencé des nôtres plus jeune âge. On a toujours avancé ensemble même si parfois nos engueulades prenaient le dessus. On rigole ensemble comme si on avait encore 5 ans, en un seul regard on se comprend. On se protège comme des sœurs, on se confie facilement l’une à l’autre. Aucun secret peut nous échapper. Mes plus grosses conneries, mes plus gros
Une amitié ? Non beaucoup plus que ça !

problèmes … Tu as été la seule à m’aider à surmonter ceci. La seule qui a su me consoler quand je vivais un enfer. La confiance entre toi et moi est un empire que personne pourra détruire. Si je pouvais je le crierai sur les toits pour dire à quel point tu es la plus belle, la plus parfaite de toutes les filles. La plus naturelle et la plus gentille. Sans toi, mon monde serait pas si parfait, pas si féerique. Main dans la main on continuera à avancer, même si la distance ose nous séparer. On n’est peut être pas lié par le sang, mais on est lié par l’amitié et par le cœur. Tu es une fille en or, pour toi je décrocherai la lune. Bébou, sache que ma porte sera toujours ouverte pour toi, et que je serais toujours derrière toi à chacune de tes chutes pour te rattraper, et je serais là pour toutes les réussite que tu auras. Le bonheur tu le mérites. ♥
Je t’aime ma meilleure amie depuis toujours ♥ 14 ans d’amitié…
Ami d’enfance
Tu es le frère que j’aurais voulu avoir,
L’ange gardien
qui veille sur moi, Tu m’as fait sortir du noir Sans toi je ne m’en
sortirai pas. Tu es le meilleur de mes amis, Que j’ai eu de toute la
vie Je veux rester avec toi pour toujours, Que notre amitié grandisse de
jour en jour Et se transforme en amour. Tu es le soleil de mes
jours. Nos lèvres se sont effleurées Mais ce fut de très courte
durée, Car je me suis détournée Et je commence à le regretter. Est-ce
qu’un jour nos routes se rejoindront? Est-ce que l’avenir c’est ensemble
que nous le tracerons? Est-ce qu’un jour nous serons réunis? Resterons
nous ensemble pour la vie? Je t’en supplie ne me laisse pas tomber, Je
serais à moitié abandonnée.
qui veille sur moi, Tu m’as fait sortir du noir Sans toi je ne m’en
sortirai pas. Tu es le meilleur de mes amis, Que j’ai eu de toute la
vie Je veux rester avec toi pour toujours, Que notre amitié grandisse de
jour en jour Et se transforme en amour. Tu es le soleil de mes
jours. Nos lèvres se sont effleurées Mais ce fut de très courte
durée, Car je me suis détournée Et je commence à le regretter. Est-ce
qu’un jour nos routes se rejoindront? Est-ce que l’avenir c’est ensemble
que nous le tracerons? Est-ce qu’un jour nous serons réunis? Resterons
nous ensemble pour la vie? Je t’en supplie ne me laisse pas tomber, Je
serais à moitié abandonnée.
Croie moi je t’aime bien
L’ami d’enfance (je t’aime)
Un
ami me parlait et me regardait vivre : Alors, c’était mourir… mon
jeune âge était ivre De l’orage enfermé dont la foudre est au coeur ; Et
cet ami riait, car il était moqueur. Il n’avait pas d’aimer la funeste
science. Son seul orage à lui, c’était l’impatience. Léger comme
l’oiseau qui siffle avant d’aimer, Disant : » Tout feu s’éteint,
puisqu’il peut s’allumer ; « Plein de chants, plein d’audace et
d’orgueil sans alarme, Il eût mis tout un jour à comprendre une
larme. De nos printemps égaux lui seul portait les fleurs ; J’étais
déjà l’aînée, hélas ! Par bien des pleurs. Décorant sa pitié d’une grâce
insolente, Il disputait, joyeux, avec ma voix tremblante. À ses doutes
railleurs, je répondais trop bas… Prouve-t-on que l’on souffre à qui
ne souffre pas ? Soudain, presque en colère, il m’appela méchante De
tromper la saison où l’on joue, où l’on chante : » Venez, sortez, courez
où sonne le plaisir ! Pourquoi restez-vous là navrant votre loisir
? Pourquoi défier vos immobiles peines ? Venez, la vie est belle, et ses
coupes sont pleines ! … Non ? Vous voulez pleurer ? Soit ! J’ai fait
mon devoir : Adieu ! – quand vous rirez, je reviendrai vous voir. « Et
je le vis s’enfuir comme l’oiseau s’envole ; Et je pleurai longtemps au
bruit de sa parole. Mais quoi ? La fête en lui chantait si haut
alors Qu’il n’entendait que ceux qui dansent au dehors. Tout change. Un
an s’écoule, il revient… qu’il est pâle ! Sur son front quelle flamme a
soufflé tant de hâle ? Comme il accourt tremblant ! Comme il serre ma
main ! Comme ses yeux sont noirs ! Quel démon en chemin L’a saisi ? –
c’est qu’il aime ! Il a trouvé son âme. Il ne me dira plus : » Que c’est
lâche ! Une femme. « Triste, il m’a demandé : » C’est donc là votre
enfer ? Et je riais… grand dieu ! Vous avez bien souffert ! »

ami me parlait et me regardait vivre : Alors, c’était mourir… mon
jeune âge était ivre De l’orage enfermé dont la foudre est au coeur ; Et
cet ami riait, car il était moqueur. Il n’avait pas d’aimer la funeste
science. Son seul orage à lui, c’était l’impatience. Léger comme
l’oiseau qui siffle avant d’aimer, Disant : » Tout feu s’éteint,
puisqu’il peut s’allumer ; « Plein de chants, plein d’audace et
d’orgueil sans alarme, Il eût mis tout un jour à comprendre une
larme. De nos printemps égaux lui seul portait les fleurs ; J’étais
déjà l’aînée, hélas ! Par bien des pleurs. Décorant sa pitié d’une grâce
insolente, Il disputait, joyeux, avec ma voix tremblante. À ses doutes
railleurs, je répondais trop bas… Prouve-t-on que l’on souffre à qui
ne souffre pas ? Soudain, presque en colère, il m’appela méchante De
tromper la saison où l’on joue, où l’on chante : » Venez, sortez, courez
où sonne le plaisir ! Pourquoi restez-vous là navrant votre loisir
? Pourquoi défier vos immobiles peines ? Venez, la vie est belle, et ses
coupes sont pleines ! … Non ? Vous voulez pleurer ? Soit ! J’ai fait
mon devoir : Adieu ! – quand vous rirez, je reviendrai vous voir. « Et
je le vis s’enfuir comme l’oiseau s’envole ; Et je pleurai longtemps au
bruit de sa parole. Mais quoi ? La fête en lui chantait si haut
alors Qu’il n’entendait que ceux qui dansent au dehors. Tout change. Un
an s’écoule, il revient… qu’il est pâle ! Sur son front quelle flamme a
soufflé tant de hâle ? Comme il accourt tremblant ! Comme il serre ma
main ! Comme ses yeux sont noirs ! Quel démon en chemin L’a saisi ? –
c’est qu’il aime ! Il a trouvé son âme. Il ne me dira plus : » Que c’est
lâche ! Une femme. « Triste, il m’a demandé : » C’est donc là votre
enfer ? Et je riais… grand dieu ! Vous avez bien souffert ! »
L’ami Lointain
De ton pays lointain
Tu as surgi soudain
Au milieu de mon chemin
Tel l’enchanteur Merlin
Le plus grand magicien
Tu as changé mon destin
Et ma route sans fin
D’un seul coup de main
Et du jour au lendemain
Tu as crée un homme saint
Un nouveau être humain
Heureux et plein de gain
Loin de tous les chagrins
Et des hommes clampins
Qui ne savent pas combien
Il est dur d’être galantin
Qu’il soit arabe ou chrétien
Un campagnard ou citadin
Ils sont tous communs
Je te remercie ô copain
Ô toi mon ami lointain
Tu as surgi soudain
Au milieu de mon chemin
Tel l’enchanteur Merlin
Le plus grand magicien
Tu as changé mon destin
Et ma route sans fin
D’un seul coup de main
Et du jour au lendemain
Tu as crée un homme saint
Un nouveau être humain
Heureux et plein de gain
Loin de tous les chagrins
Et des hommes clampins
Qui ne savent pas combien
Il est dur d’être galantin
Qu’il soit arabe ou chrétien
Un campagnard ou citadin
Ils sont tous communs
Je te remercie ô copain
Ô toi mon ami lointain